L’entrepreunariat est un labyrinthe de choix.
Quand tu décides de rentrer dans ce labyrinthe, impossible de reculer.
C’est toujours tout droit.
Au bout d’un certain temps…
Tu finis par tomber sur une intersection.
Alors deux possibilités s’offrent à toi.
Par définition, un choix n’est ni bon ni mauvais.
Mais il doit être fait.
Et ce n’est pas toujours évident…
Parce que tes choix déterminent la suite de l’aventure.
Tu le sais.
Si tu décides de tourner à droite peut être que tu dis adieu à une perspective de vie plus intéressante.
Mais si tu changes d’avis brusquement.
Et que tu prends à gauche.
Tu ne le sauras jamais…
C’est dans la nature humaine de réagir comme ça.
L’Homme réagit plus facilement au risque de perdre quelque chose, plutôt qu’à la promesse d’un gain futur.
C’est un élément à prendre en compte quand tu rédiges ton argumentaire de vente.
Finalement, notre vie se déroule exactement comme ce film d’interaction diffusé sur Netflix.
Bandersnatch.

Un simple choix comme les céréales que tu manges le matin.
Le morceau que tu écoutes dans le bus.
Ou encore l’heure à laquelle tu décides de prendre ta douche.
Aura un impact sur le reste de ta journée et peut être même de ta vie…
Comment faire face à cette situation ?
Comment vaincre la paralysie du choix ?
Pour ça, allons faire un tour du côté des échecs.♟
Que tu joues aux échecs ou que tu réfléchisses sur ton orientation.
Quand tu ne sais pas quoi jouer.
C’est pareil.
Tout ce que tu veux, c’est passer ton tour.
Faire disparaître cette intersection d’un coup de baguette magique.
Malheureusement c’est impossible.
Ce sont les règles du jeu.
Tu dois choisir.
Tu dois jouer.
Ce phénomène porte un nom:
Zugzwang.
Forcer son adversaire à jouer un coup.
On tourne à droite malgré soi.
On avance son pion d’une case.
En général ce n’est pas un coup qui vient du coeur.
Tout comme un joueur d’échecs forcé par son adversaire à déplacer son roi.
Tu représentes parfois toi même ton plus grand adversaire.
Et pour rester cohérent avec ton coup précédent.
Tu fonces tête baissé.
Et tu te plantes en beauté.
Tout à l’heure, je t’ai dit qu’il n’y avait que deux possibilités.
Ce n’est pas tout à fait vrai.
En réalité en existe une troisième.
Celle de faire demi-tour.
J’ai l’air de me contredire ?
C’est parce qu’aux yeux de beaucoup, cette porte de sortie n’est pas envisagée.
Pourtant parfois, c’est la solution la plus pertinente.
Il faut savoir distinguer persévérance et obstination.
Un choix n’est pas toujours définitif.
Si tu ne choisis pas, tu ne sauras jamais.
Mais si tu as choisi et que ce n’est pas la bonne décision.
Tu peux toujours faire marche arrière.
Choisir de vivre de ton activité et goûter à la liberté.
Et si ça ne te correspond pas, retourner dans le salariat.
Le risque n’est jamais aussi grand qu’on ne l’imagine.
Tu pourras toujours faire demi-tour.
Mais rien ne pourra jamais rivaliser avec l’expérience de sortir de ta zone de confort.

Si aujourd’hui tu décides d’avancer, d’aller de l’avant.
De faire du hors piste en dehors de ta zone de confort.
Je vais t’accompagner dans tes décisions.
Ensemble on va surmonter cette paralysie.
On va déterminer si il est préférable pour toi d’aller à gauche ou à droite.
Moi aussi j’ai été confronté à ces choix cornéliens.
Ceux qui te font t’arracher les cheveux.
Ceux qui t’empêchent de dormir la nuit.
C’est plus simple d’avancer dans la bonne direction en compagnie de quelqu’un qui possède la carte du labyrinthe.
C’est toi qui vois.
Si tu as besoin de moi pour avancer n’hésite pas à me contacter.
Tu ne vas quand même pas abandonner ton rêve à cause d’un simple choix.
Si ?
À demain,
Aymeric.
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