Au cœur de ce projet se trouve le paradoxe des cimetières, où les fleurs artificielles, impérissables, contrastent avec l’amour sincère et réel qui les dépose. Les fausses fleurs, témoignent d’une affection profonde et d’un engagement durable. Elles deviennent le reflet de l’intention d’être présent, lorsque la vie ne le permet pas. Un témoignage de l’amour qui persiste malgré les contraintes du temps et de la distance.
Mon œil se glisse, là ou il ne devrait pas se trouver, dans la pénombre à l’intérieur d’un monument funéraire, est révélé par un flash, un bouquet de fleurs recouvert d’une toile d’araignée.
Si les fleurs sont fausses, l’amour lui est bien réel.